Comme Degas, il peignait des petits « rats », pas celles de l’Opéra, mais de gentilles demoiselles de l’Académie du quadrille citée plus bas, des jeunes filles avec des visages toujours souriant, car, tout en les « croquants » sur la toile ou le papier, il aimait leur narrer des histoires drôles, ou partager avec elles, d’étincelantes histoires. N’étant pas à une idée près, il avait imaginé d’inventer un ventilateur. L’artiste avait remarqué l’excès de chaleur qui régnait sur les hauteurs, la Butte étant plus près du soleil, il conçut donc cet appareil…actionné par un écureuil.